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Moi, ma vie, mon récit...

14 août 2008

Une journée inoubliable...

Le samedi 5 mai 2007, dans l’après midi, mon grand père maternel est partit dans le sommeil éternel afin de rejoindre un monde meilleur. Un monde où la souffrance n’existe pas, un monde où il pourra quand même nous voir, mais où nous nous en sommes dans l’incapacité. Perdre un grand père c’est se remémorer des souvenirs antérieurs qui ne pourront être maintenant plus jamais complétés. En partant, il emporte avec lui tous ces souvenirs. Je me souviens qu’il adorait ses enfants et petits enfants, il venait sans cesse nous voir grandir, rire, vivre… C’était un homme d’une générosité unique, il donnait tout l’Amour qu’il pouvait à ses proches. Malgré ses problèmes de santé, il était Toujours là pour aider son entourage, et, dans les derniers instants de sa vie, il ne supportait plus de ne pas pouvoir aider ses proches, mais plutôt de les déranger selon lui sans cesse. Etant jeune, je me souviens qu’à Pâques, avec mes cousins et cousines on se retrouvait Toujours chez lui pour aller chercher le chocolat dans son jardin, et la journée ne s’achevait jamais sans la prise d’une nouvelle photo des petits enfants et enfants réunis. Malgré le peu de temps libre dont il disposait chaque jour, il en trouvait Toujours un peu pour aller voir ses enfants et petits-enfants , même si ce n’était que peu de temps, il se déplaçait Toujours.

Aujourd’hui sa disparition me peine énormément puisque plus Jamais nous ne jouerons avec lui, plus Jamais nous ne pourrions parler avec lui, plus Jamais je lui dirai de ne pas brûler les feux oranges. Je me rappelle qu’il accélérait toujours à la vue d’un feu orange pour éviter d’avoir le feu rouge !! Je me souviens aussi que lorsqu’il me démêlait les cheveux pour me les couper (il était coiffeur), il me disait Toujours « faut souffrir pour être belle ». Et moi aujourd’hui je me dis Mieux vaut souffrir pour que lui maintenant ne souffre plus…

La peine de ma mère me touche beaucoup car je la comprends. Il était non seulement un grand père formidable mais aussi un père formidable et ça je ne lui serais Jamais assez reconnaissante de nous avoir aimé et prouver jusqu’ à son dernier souffle.

J’aurais aimé lui dire avant qu’il parte que j’étais fière de lui, de tout ce dont il nous a fait profiter, de l’importance qu’il avait …

J’aurais aimé qu’il reste tout de même encore un peu plus, pour qu’il me voit encore grandir et évoluer, pour qu’il soit fier de moi. Maintenant la vie ne s’arrête pas certes, mais elle ne sera plus Jamais comme avant. Désormais, un cadeau dont il m’a fait part, il y a quelques années ne me quittera plus, même si il ne m’a rarement quitté en fait. Il s’agit d’une simple gourmette , mais elle a été tellement offerte avec Amour, qu’elle m’est si précieuse… j’aurais ainsi l’impression qu’il est un peu avec moi et qu’il me soutient dans les futurs diverses étapes de ma vie. Voilà je l’aimais et il restera à Jamais dans mon cœur.

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14 août 2008

L'Amour un poison... avant l'antidote

 

Aujourd'hui, je n'éprouve plus la même sorte d'amour, avant c'était véritablement de l'amour, de l'admiration...mais...désormais c'est plutôt de la haine...mais peut être pas totalement.

Ma tête parvient à l'oublier, ou plutôt le détester, mais mon coeur éprouve le contraire. Jamais je n'aurais du le voir, lui parler, le connaître, l'apprécier, l'aimer...car aujourd'hui je me sens emprisonner dans cette situation...Un long tunnel noir, où, il y a quelques temps j'étais proche de la sortie...désormais je ne peux que l'aperçevoir...

Il a eu sur moi l'effet d'un poison qui me consume un peu plus chaque jour... L'antidote existe, mais faut-il encore en trouver sa nature...

 

24 juin 2008

Un Lui parmi tant ...

Des larmes ne cessent de quitter mon être pour rejoindre ce monde rempli d'illusion. La réalité m'ouvre les yeux sur ce monde, si beau par d'autres, ceux qui vivent dans le rêve, et qui ne peuvent en découvrir la véritable identité.

L'amour, un sentiment merveilleux entre deux personnes.. l'amour est vu dans ce monde comme un roman où la perfection règne. Ce n'est qu'une illusion supplémentaire qui cache une facette de la vie si importante...

Lui, tellement parfait à mes yeux, trop parfois... moi...une fille si banale, une amoureuse parmi tant d'autre qui cherche le bonheur avec lui...

Tout parait se dérouler à merveille comme dans les films, mais la réalité s'avère différente. Lui, pas si comparable avec elle, identique à une formule mathématiques, dont la solution rationelle n'existerait pas, juste une illusion formerait un calcul...

Tant d'espoir se réduisent en poussière, qui d'un sens ont donné vie à une poussière2vie... Tant d'espoir qui vont vers le néant...

Un néant qui, un jour ne sera qu'un souvenir... Ce jour est arrivé...!

13 octobre 2007

Parce qu'il y a un début à tout...

Cette œuvre, si l’on peut qualifier cette autobiographie comme telle, ce serait plus juste d’appeler cela de « cahier de souvenirs ». Bref, ce livre n’est basé que sur des faits réels que moi-même j’ai vécu à un instant précis de ma vie. Quoiqu’il en soit le tout est basé sur un seul et unique principe : la Vérité. D’ailleurs, c’est pour cette raison que des faits sont manquants puisque, chaque être humain est dans l’incapacité de se souvenirs de tout ce à pu vivre. C’est pourquoi, dans une autobiographie des absences de souvenirs sont tolérables puisque inévitables

Tout dire, tout raconter chaque instant de notre vie ne serait que mensonge. C’est pour cela qu’il faut accepter la défaillance de la mémoire, pour ainsi vivre un maximum dans la vérité

L’écriture de ces souvenirs sont dû à une passion personnelle pour l’écriture, et ce depuis l’âge de dix sept ans quand j’en ai vraiment découvert le bonheur et les vertus que cela peut provoquer.

Et cela grâce à une Plume en or.

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